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28 janvier 2008
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09:12
De nombreuses études scientifiques chinoises et étrangères ont révélées l'apparition actuelle et future de conséquences terrestres et aquatiques avec certaines irréversibles.
En amont de la construction du barrage, les scientifiques ont montré la sédimentation rapide du réservoir qui entraîne la paralysie du fonctionnement du barrage, et l'innondation de 600 km² de terres agricoles et de forêts.
En aval de ce projet, de nombreux impacts sur la flore terrestre sont et seront à déplorer, notamment au niveau de l'ennoiement de l'habitat des plantes et du déplacement des populations.
De plus, les espèces endemiques rares et en voie de disparition seront les premières victimes de la modification des écosystèmes. Le monde animal terrestre souffrira de la disparition de ses sources d'alimentation.
Les conséquences les plus graves sont pour les poissons. La vie aquatique va être irrémédiablement modifiée. Ce projet affectera ou détruira les écosystèmes aquatiques en amont comme en aval du barrage. La montée des eaux entraînera des conséquences plus complexes pour les écosystèmes d'aquatiques ; cela modifiera l'habitat et les lieux de migration et de reproduction des poissons.
La région des Trois Gorges est située à la jonction de la forêt sino-japonaise et de la forêt sino-himalayenne et selon les études, l'inondation du réservoir devrait toucher 550 espèces (358 genres et 120 familles de végétaux) et accroître leur disparition.
Après l'inondation du réservoir, le courant du fleuve sera très ralenti, provoquant la disparition de certaines espèces et l'apparition de nouvelles. Les chaînes alimentaires vont être modifiées.
La destruction des frayères sera occasionnée par l'ensablement en amont et l'érosion en aval du barrage. L'augmentation du traffic sur le Yantsé augmentera les risques d'accidents mortels pour les gros animaux (exemple : le dauphin du Yantsé).
Les inondations du réservoir aggraveront la pollution fluviale qui sera en constante augmentation.
Une cinquantaine de polluants sont recensés dans les eaux du fleuve (plomb, mercure, cadmium, chrome, arsenic, cyanure, phénol...). Lorsque le niveau de l'eau va monter dans le réservoir et innonder les maisons et les usines, de nombreux dépôts, terrils et décharges vont être remis en solution et dispersés dans les eaux, au risque de polluer les endroits qui ne le sont pas encore (notamment les petites vallées transversales jusqu'alors épargnées). Enfin cette pollution entraînera la multiplication anormale des mauvaises herbes aquatiques et des algues.
Ces conséquences écologiques entraînent des conséquences humaines avec les déplacements prévus de 1,2 million d'habitants sans aucune aide de l'Etat et avec l'engloutissement de 160 sites historiques et archéologiques, de plusieurs villes et de nombreux villages.
En amont de la construction du barrage, les scientifiques ont montré la sédimentation rapide du réservoir qui entraîne la paralysie du fonctionnement du barrage, et l'innondation de 600 km² de terres agricoles et de forêts.
En aval de ce projet, de nombreux impacts sur la flore terrestre sont et seront à déplorer, notamment au niveau de l'ennoiement de l'habitat des plantes et du déplacement des populations.
De plus, les espèces endemiques rares et en voie de disparition seront les premières victimes de la modification des écosystèmes. Le monde animal terrestre souffrira de la disparition de ses sources d'alimentation.
Les conséquences les plus graves sont pour les poissons. La vie aquatique va être irrémédiablement modifiée. Ce projet affectera ou détruira les écosystèmes aquatiques en amont comme en aval du barrage. La montée des eaux entraînera des conséquences plus complexes pour les écosystèmes d'aquatiques ; cela modifiera l'habitat et les lieux de migration et de reproduction des poissons.
La région des Trois Gorges est située à la jonction de la forêt sino-japonaise et de la forêt sino-himalayenne et selon les études, l'inondation du réservoir devrait toucher 550 espèces (358 genres et 120 familles de végétaux) et accroître leur disparition.
Après l'inondation du réservoir, le courant du fleuve sera très ralenti, provoquant la disparition de certaines espèces et l'apparition de nouvelles. Les chaînes alimentaires vont être modifiées.
La destruction des frayères sera occasionnée par l'ensablement en amont et l'érosion en aval du barrage. L'augmentation du traffic sur le Yantsé augmentera les risques d'accidents mortels pour les gros animaux (exemple : le dauphin du Yantsé).
Les inondations du réservoir aggraveront la pollution fluviale qui sera en constante augmentation.
Une cinquantaine de polluants sont recensés dans les eaux du fleuve (plomb, mercure, cadmium, chrome, arsenic, cyanure, phénol...). Lorsque le niveau de l'eau va monter dans le réservoir et innonder les maisons et les usines, de nombreux dépôts, terrils et décharges vont être remis en solution et dispersés dans les eaux, au risque de polluer les endroits qui ne le sont pas encore (notamment les petites vallées transversales jusqu'alors épargnées). Enfin cette pollution entraînera la multiplication anormale des mauvaises herbes aquatiques et des algues.
Ces conséquences écologiques entraînent des conséquences humaines avec les déplacements prévus de 1,2 million d'habitants sans aucune aide de l'Etat et avec l'engloutissement de 160 sites historiques et archéologiques, de plusieurs villes et de nombreux villages.
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